Les raisons d’être optimiste pour l’Afrique

Comment le Giec peut-il espérer convaincre les responsables politiques de faire revenir cette question au centre de leurs préoccupations ?Ceux qui manquent le train de la mondialisation au départ sont souvent incapables de rattraper leur retard ensuite.Depuis près de deux mois, avant la constitution d’un gouvernement, CDU et SPD négocient un programme détaillé, incluant la fiscalité, celle de l’énergie notamment.Au même titre que le repas de famille élargi au soir de Noël.À ce titre, avec l’ARAF, d’un véritable régulateur, doté d’une autonomie de décision, d’une autonomie financière et de moyens (une quarantaine de salariés) qui n’ont que peu d’équivalents en Europe.Calculé par rapport à la moyenne de tous modèles économiques en énergie, cet engagement coûte 250 milliards de dollars par an, soit un coût total de 20 000 milliards de dollars à la fin de ce siècle pour une réduction dérisoire de l’augmentation de la température, de 0.Il ne fait guère de doutes que ce sont les fournisseurs de matières premières qui en supporteraient d’abord les conséquences négatives, notamment les grands groupes australiens et d’Afrique du Sud.Plus épineux sera l’achat de titres de dette publique émis par les Etats membres. Mais pour se révéler efficace, ces ressorts exigeaient un effet de surprise déclenché par une avance significative, ou, tout au moins, la manifestation d’un signe positif, dès le premier tour. Guides de propriétaires souhaite notamment montrer aux organisateurs que la ville est toujours une ville de cycle.  Le cas de l’industrie automobile française qui court à sa perte, faute de dévaluation, face à la compétitivité allemande est éloquent.Cette contradiction risque de devenir de plus en plus flagrante dans les années à venir.