Europe : la décennie de la renaissance ?

La durée est le progrès continu du passé qui ronge l’avenir et qui gonfle en avançant.En cela consiste la prévision de l’avenir par le sens commun.Par ailleurs, les dynamiques de croissance dans cette région est encore porteuse d’exclusion avec des niveaux de chômage importants et d’importantes inégalités entre régions.Nous disions que cette nature pouvait être considérée comme une conscience neutralisée et par conséquent latente, une conscience dont les manifestations éventuelles se tiendraient réciproquement en échec et s’annuleraient au moment précis où elles veulent paraître.Il est vrai que peu de marques descriptives ou génériques passent le filtre de l’INPI, mais beaucoup de marques sont acceptées si, sans les décrire, elles évoquent fortement les produits et les services désignés.Mais nulle part la substantialité du changement n’est aussi visible, aussi palpable, que dans le domaine de la vie intérieure.En parcourant les ateliers avec cet homme aimable et fin, plus près de l’artiste, assurément, que de l’ouvrier, je revoyais sans cesse l’immortelle jeune fille, debout près de la tombe d’Henri Regnault.La pitié vraie consiste moins à craindre la souffrance qu’à la désirer.Bref, le temps n’a pas de prise sur lui ; et la croyance vague et instinctive de l’humanité à la conservation d’une même quantité de matière, d’une même quantité de force, tient précisément peut-être à ce que la matière inerte ne paraît pas durer, ou du moins ne conserve aucune trace du temps écoulé.Pour Jean-Thomas Trojani, la douleur produit une sorte d’angoisse de tout l’organisme.Comme les actions possibles, dont un état de conscience contient le dessin, reçoivent à tout instant, dans les centres nerveux, un commence­ment d’exécution, le cerveau souligne à tout instant les articulations motrices de l’état de conscience ; mais la se borne l’interdépendance de la conscience et du cerveau ; le sort de la conscience n’est pas lié pour cela au sort de la matière cérébrale.Parce que les bulles sont essentiellement des phénomènes socio-psychologiques, elles sont par leur nature même, difficiles à contrôler.On pourrait dire que les cérémonies sont au corps social ce que le vêtement est au corps individuel : elles doivent leur gravité à ce qu’elles s’identifient pour nous avec l’objet sérieux auquel l’usage les attache, elles perdent cette gravité dès que notre imagination les en isole.